LE PREMIER HUMANISME donne souvent une vision idéale de la cité parce qu’il promeut des valeurs qui seraient à la fois partagées dans la plupart des grandes villes européennes et déclinées de manières particularisées. Il est aussi des espaces, telle la péninsule italienne, où la réflexion humaniste est de suite mobilisée au service des pouvoirs en compétition. L’engagement dans la cité est double : construire un paradigme d’unité sociale et servir une cité singulière. Mais plusieurs questions doivent être (...)