Au-delà de son goût pour les arts et de sa politique culturelle dans la France de la Renaissance, qui en ont fait un roi emblématique pour la postérité, François Ier s’est personnellement adonné aux plaisirs de la poésie puisqu’on lui attribue aujourd’hui plus d’une centaine de poèmes en français. Prince parmi les poètes, il fut aussi un mécène éclairé et sut faire de la cour un lieu où la poésie, française et néo-latine, occupait une place prépondérante. Si les noms de Marot et de Saint-Gelais sont encore (...)