Il est communément admis que l’intérêt pour les romans de chevalerie, qui continuent d’être lus et appréciés aux XVe et XVIe siècles à travers leurs versions imprimées, disparaît au XVIIe siècle pour ne renaître qu’avec les amateurs du XVIIIe siècle et culminer avec les homériques batailles que se livrent les bibliophiles du XIXe siècle.
L’exposition que présente la Bibliothèque Mazarine s’organise autour d’une acquisition récente effectuée avec l’aide de la Fondation B.H. Breslauer, un Arioste illustré (...)