Il faut des repères pour retenir l’histoire, des héros pour la faire revivre, des phénomènes pour la comprendre. Le succès de l’association, familière aux écoliers, de la victoire de “Marignan-1515” , de l’avènement de François Ier, la même année, et de celui-ci à l’essor de la Renaissance française (puisqu’il faut bien lui assigner un commencement) tient à une triple coïncidence : la figure quasi-légendaire d’un « roi-chevalier » victorieux, qui est aussi un monarque bâtisseur (le palais “idéal” de Romorantin, (...)